ça dérange...

Cette phrase dérangeante permet une belle introspection.

Rechercher en soi ce qui nous "titille"plutôt que de reporter la faute sur l'autre. Le chemin n'est pas simple mais tellement enrichissant.

Travailler sur soi permet de grandir et de développer son intelligence émotionnelle.

Rechercher ce sur quoi vient appuyer le message de l'autre nous permet de nous poser les bonnes questions.

Rappelons-nous que nous avons, de temps en temps, l'impression que l'autre nous malmène. Se poser les bonnes questions permet de reprendre sa place dans le respect de soi-même et de l'autre, et de prendre ses responsabilités.

Qu'est ce qui me dérange ?

En quoi ça me dérange ?

Qu'est ce que je ressens ?

Quelles en sont les conséquence dans ma vie ?

Qu'est-ce que je crains ?

Qu'est ce qui fait que c'est important pour moi ?

Quand on cherche on trouve. Oui, mais on trouve quoi ?

Nos limites, celles qui nous bloquent et celles qui nous aident, Nos peurs,

La cause de nos limites,

Nos besoins, satisfaits ou pas,

Nos croyances, nous croyons dur comme fer que..."Je ne suis pas à la hauteur" par exemple. (Selon vous, est-ce que tout le monde pense la même chose de vous ?),

Nos valeurs, ce sont les fondements qui nous portent et que l'on exporte vers les autres, le respect par exemple.

...tous ces concepts sont fondateurs de notre personne.

Si on réfléchit sur nous-même, nous apprenons à nous connaitre vraiment, sans faux-semblant. Et là, seulement, nous pouvons avancer.

Comment ce fait-il que je n'ai pas satisfait ce besoin ?

En quoi est-ce que ce besoin insatisfait est-il positif pour moi ?

Quelle ressource je développe grâce à ça ?

Et puisque que nous sommes seul maître de nous même, nous mettrons en place des actions pour avancer.

Qu'est ce que je peux mettre en place pour me sentir satisfait(e) ?

ou Qu'est ce que je peux mettre en place pour avancer et évoluer ?

Quand ?

Dans la même veine :

"Nous sommes les forgerons de nos propres chaines et le plus souvent de très habiles artisans" Jacques Salomé.

Avec amour,

Carole Nizet.